1 . Quelques vérités préliminaires qui fondent cette étude de fin d’année :
. les récentes restrictions diplomatiques américaines qui concernent l’Afrique découlent du terrorisme islamique,
. la religion islamique devient la principale cause d’instabilité, de terrorisme et des tueries en Afrique,
. l’islam, religion d’origine étrangère à l’Afrique, devient la principale cause des crimes et des violences religieuses et politiques,

. le développement en Afrique nécessite le diagnostic exact des pesanteurs et des réponses adéquates,
. un leadership victorieux et gagnant cristallise toujours haines et jalousies, etc.

2 . L’Afrique doit devenir la meilleure destination du développement et de l’éco-tourisme
Les statistiques sur le développement économique et social du continent africain ressortent des réussites réelles des processus enclenchés. Bravo aux leaders africains, surtout aux quatre groupes de pays qui suivent, qui ont relativement réussi leur transformation économique et sociale.

Ce sont :
. Ile Maurice, Seychelles , Botswana et Cap-Vert ,
. Nigéria, Maroc, Afrique du Sud, Égypte et Algérie ,
. Éthiopie, Kenya, Côte d’Ivoire, Tanzanie et Ghana,
. Rwanda, Sénégal , Angola et Tunisie.

Les décennies à venir vont certainement ressortir de nouveaux horizons de développement. Sauf que le préalable ici encore réside dans la paix, la démocratie, la bonne gouvernance et la stabilité politique.
Ici également, ces pays sont : la Namibie, les deux Guinée, le Gabon, les deux Congo, la Libye, la Somalie, le Mozambique, le Bénin, la Mauritanie, le Libéria et les pays pétroliers et miniers limitrophes, etc.

3 . Les victoires de l’Afrique concernant le développement
Des victoires importantes ont été obtenues sur divers fronts qui font la fierté du continent.
Ce sont :
. la lutte contre la grande pauvreté et les famines diverses ;
. le développement d’infrastructures importantes et diversifiées au niveau urbain et rural ;
. les infrastructures économiques importantes et diversifiées (port, aéroport, zones économiques, voies ferrées, trains urbains et lignes de métros, téléphériques, routes et autoroutes ultra-modernes) ;
. les infrastructures sanitaires et les assurances médicales (hôpitaux et cliniques avancés, centres hospitaliers de nouvelle génération, cliniques médicales aux normes internationales, assurances médicales, hôpitaux ruraux fonctionnels) ;
. les infrastructures rurales d’excellente qualité et fonctionnelle (routes, écoles, centres administratifs, centres de santé) ;

. la mise en œuvre de diverses infrastructures énergétiques et électriques ;
. le processus d’exploitation des mines et des hydrocarbures selon les standards internationaux et l’amélioration des ressources perçues affectées au développement ;
. les infrastructures universitaires, scolaires et techniques ;
. les infrastructures agricoles, agro-industrielles, les zones agricoles ;
. un secteur privé puissant et résilient, qui est devenu un grand contributeur au PIB des pays ;
. de nouvelles infrastructures économiques et sociales de niveau global en développement (villes nouvelles, capitales d’Etat fédéré, villes spéciales, port en eau profonde, aéroport international, multinationales de rang mondial, centres médicaux avancés internationaux) ;
. l’existence de noyaux capitalistes de niveau international (hommes d’affaires ultra-riches, entreprises technologiques, investisseurs africains capables d’investissements lourds), etc.
Par ailleurs et concernant la consolidation des PIB, il faut noter, hormis l’Union Africaine qui a un PIB global de près de 6000 milliards USD, au moins un pays, le Nigéria, qui est proche de franchir la barre de 1000 milliards USD (PIB par PPA). Ce qui est une légitime fierté pour toute l’Afrique.

4 . Une bonne gouvernance en œuvre avec des programmes et des projets de développement d’excellente qualité
Concernant la qualité du développement, des études ont ressorti l’amélioration des gouvernances dans divers domaines : politique, électoral, économique, financier, stratégique, scientifique et technologique, social, régional, étatique, antiterroriste, sécuritaire, etc.
Des partenariats importants se nouent avec des puissances stratégiques : USA, Russie, Union Européenne, Chine , France, Allemagne, Brésil, Inde, Canada, Australie , Arabie-Saoudite, etc.

A l’approche de l’an 2026 après Jésus Christ (ce juif africain homme-Dieu tué par des peuples barbares), l’Afrique reste une terre bénie et un paradis pour le reste du monde.

5 . L’Afrique reste une destination de rêve
Il faut encore rappeler que notre Afrique cumule des nouvelles excellentes :
. paradis terrestre gigantesque et diversifié ;
. population importante et diversifiée et consciente de son rôle mondial ;
. continent aux sols et sous-sols riches (potentiel agricole vaste et diversifié, mines et minerais rares) ;
. continent aux richesses stratégiques importantes (population avec bientôt 2 milliards d’habitants, classes moyennes très importantes, diverses ressources stratégiques et énergétiques) ;
. continent gigantesque et ultra-stable à l’abri des grandes intempéries (tremblements de terre, volcanismes, cyclones catastrophiques, sécheresses, froid polaire catastrophique, inondations sévères, etc.)
C’est ici la bonne Afrique, ce continent ouvert sur le monde qui jouera demain un rôle important dans les relations internationales.

6 . Des défis importants à surmonter par l’Afrique à ne pas occulter
Et pourtant, les défis restent gigantesques pour prétendre créer cette Afrique développée selon les normes et les standards internationaux. Rappelons encore que pour beaucoup d’Africains, le développement économique et social reste un mirage et un horizon de rêve.
Ces insuffisances sont :
. les pires chiffres concernant les indicateurs de développement humain ;
. l’absence de logements salubres pour tous et des populations vivant dans des villages sous-développés ;
. l’absence de routes bitumées ou tout simplement de routes acceptables pour une bonne partie des populations africaines ;

. les villes-mirages avec des façades et des vitrines développées et des arrières-cours pauvres et sans développement ;
. la santé pour tous (ici également, c’est un rêve et très souvent, les assurances médicales ne servent à rien) ;

. des injustices inacceptables dans la distribution du développement (les zones productrices riches reçoivent en réalité peu de développement et d’infrastructures sociales) ;
. le développement par empoisonnement (l’exploitation minière à grande échelle se transforme en calvaire pour les populations avec la complicité des autorités politiques et administratives, qui célèbrent des résultats miniers alors que la population est empoisonnée (mines d’or, d’hydrocarbures et autres minerais exploités) ;
. la jeunesse est sacrifiée pour servir diverses causes (émigration au profit des pays occidentaux en forte dénatalité, vivier politique pour servir activités politiques et insurrectionnelles, terreaux terroristes) ;

. le chômage inacceptable des populations jeunes ;
. les défis sécuritaires et terroristes, avec le développement rapide de l’insécurité générale. Ici également, le terrorisme s’installe et s’emballe avec des défis supplémentaires ;
. le défi militaire en Afrique de l’ouest, avec l’arrêt des processus démocratiques et l’installation de régimes insurrectionnels non élus ;

. la création rapide d’une monnaie continentale (avec une zone monétaire africaine) et concernant la CEDEAO, la mise en œuvre rapide d’une monnaie ouest-africaine. Ici, il faut indiquer que toutes les ressources et infrastructures existent (sièges et locaux, buildings, ressources humaines de haut niveau, expertises avérées de gestion monétaire). Il reste toutefois le courage politique…
Conclusion : l’Afrique en 2026 reste un continent d’avenir, une TERRE D’EXPERANCE PROMISE À L’HUMANITÉ. Toutefois, les leaderships en œuvre doivent s’engager dans le développement et dans la justice. Les gouvernances et les programmes de développement ne doivent plus comporter de lacunes.

Exemple : dans la commune de Cocody à Abidjan, la première attente des populations reste l’élargissement sérieux des routes pour fluidifier la circulation et l’ouverture de nouvelles routes additionnelles pour désenclaver les villes et les quartiers nouveaux construits derrière cette commune. Tout simplement.
Bonnes fêtes de fin d’année. Bonne et heureuse année 2026. Paix en Afrique et fraternité des religions.
Images et illustrations : www.google.com et www.facebook.com et autres réseaux sociaux. Texte paixetdevelopement et base de données Internet paixetdevelopement.// Étude prospective RHDP.



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